Salut je m'appelle Awa et j'ai 19ans je vais vous renconte une histoire c'est produits au meilleur ami de mon grand père qui est décédé paix à son âme et que la terre lui soit légère,il s'appelle << Amadou Koné >>.

Je vais vous renconte sa rencontré avec Mami_Wata.

Comme tous les hommes du village, il avait l'habitude d'aller aux champs le matin et de revenir l'après midi. Pour arriver à son champ, il dois faire une partie du chemin en pirogue sur un lac artificiel créé par le barrage.

Ce jour_là donc, il fit son travail normalement. Puis il prit sa pirogue pour rentrer. Il ramait doucement quand, tout à coup,il entendit une voix douce derrière lui. La voix chantait. Il se retournait et qu'est-ce qu'il vit? Il vit une femme qui était à moitié sortie de l'eau.

Elle ne faisait pas de mouvement,mais elle lui suivait facilement. Tout ce que il remarquait, c'est que cette femme était très belle. Il se mit à ramer très vite, mais elle lui poursuivait toujours. Il était épuisé quand il atteignit le rivage du côté du village.

Tout en marchant,il se mit à penser. Il compris que cette femme mystérieuse qui avait disparue pouvait être Mami_Wata,la belle déesse des eaux.

Le soir,il mangeait normalement et se mit au lit.

Au moment où il allait s'endormir,il vit quelqu'un entrer dans sa chambre.

C'était une femme élancée et gracieux.

Elle avait les cheveux très long et elle souriait.

Elle vint s'asseoir sur le lit près de lui.

Il ressentait une espèce de peur.

Il n'eus pas à poser de question.

La femme lui parla tout de suite.

_C'est moi,Mami_Wata.

Tu as dû entendre parler de moi, Amadou. J'apparais aux hommes que j'aime. Et si tu me vois ce soir, c'est parce que tu me plais. Je veux devenir ta femme.  Tu acceptes,je te comblerai de tout les richesses. Tu seras l'homme le plus riche du village. Mais mon amour est très difficile à satisfaire. En effet,je veux que mon mari soit à moi seulement. Tu n'auras d'autres parents que moi, d'autres amis que moi. Tu devras me consacre toute l'affection dont tu es capable.

Tu dois oublier les autres hommes.

_Et si je refuse? Dit-il

Alors Mami_Wata lui répondit d'une voix menaçant :

_Si tu refuses,je te ferai souffrir.je jetterai sur toi les maladies les plus douloureuses. Je te torturerais jusqu'à la mort. Alors, réfléchis bien avant de te décider.

Je reviendrai te voir dans trois jours. Tu me donneras ta réponse.

Mami_Wata partit. Pendant trois jour,son esprit essaya de choisir. La richesse? L'argent, l'or, les pierres précieuses ou les hommes? Comment un homme peut il vivre séparé des sienne ? Le marché que lui avait propose Mami_Wata était un marché difficile.

La nuit du troisième jour,il s'allongeait sur son lit et se mit à jouer de la guitare pour se donner un peu de courage. Comme le premier fois,Mami_Wata arriva alors que tout le monde, dans la concession, dormait. Elle n'ouvrir pas la porte de la chambre,mais passa à travers le mur. Elle vint s'asseoir sur le lit près de lui. Elle attendait sa réponse.

_Non,dit-il.

_Non ? Reprit-elle , surpris.

_Non. Je ne veux pas quitter les autres hommes. J'aime mes parents,mes amis. Je crois qu'ils sont là plus grande richesse. A quoi me serviront les richesses que tu me promets si je ne peux pas en profiter avec mes parents,mes amis ?

_Amadou ,tu refusé le paradis que je te donne pour continuer à souffrir parmi les hommes qui sont méchant.

Tes amis sont toujours prêts à te trahir,tes parents à t'abandonne.

_C'est possible. les hommes ne sont pas parfait. Mais je veux vivre avec eux, lutter quelquefois contre eux. Je veux que nous ayons des joies communes,que nous pleurions ensemble les malheur. L'important c'est la solidarité avec les autres hommes.

_Tu sais que je peux te rendre misérable.

_Je sais, Mami_Wata. Mais j'ai confiance en aux autres hommes,en mes parents,mes amis, ils me soigneront.

Mami_Wata était vainçue. Triste, elle se leva et marcha vers la sortie.

_Tu es un brave homme, Amadou. C'est pourquoi je t'aime et c'est pourquoi je te laisse en paix. Je souhaite que les autres hommes ne te déçoivent pas.

Mami_Wata partit. Il ne l'ai plus revue depuis cette nuit.

Par Minichi La joyeuse